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Un jeu de rôle médiéval fantastique
 
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 Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage

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Noth Netep
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MessageSujet: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeVen 13 Oct à 0:08

DE MORTALYS INFICTUS



Hier, à l’auberge du « rat châtré », Euzébiel Déonyrdalan n’a pu s’empêcher de se gausser de moi. Il est vrai qu’en sa qualité de haut conteur du peuple elfique, entendre qu’un humain de ma qualité ne voulait pas utiliser les talents d’un scribe pour écrire ses mémoires, se fiant à son éducation de lettré et à ses illusions d’écrivain, pouvait porter à rire...Le fait est que je voulais que cela vienne de moi, sans les élucubrations verbiesques que pouvait y apporter un scribe, et d’autant plus un elfe qui avait depuis déjà longtemps porté aux nues l’héroïsme tant elfique que d’autres races. Ce n’est pas que j’eu à reprocher la moindre chanson, ou le moindre parchemin qu’il avait remplis de mes exploits, mais je voulais que ses mots, même s’ils n’étaient pas les plus érudits ou judicieusement choisis, soient les miens...
Le réel problème d’une personne qui veut retranscrire sa vie c’est qu’auparavant elle doit savoir ce qu’elle veut laisser à la postérité, mais surtout comment raccorder tous ces anecdotes pour que le lecteur ne s’y perde pas. Je pourrais commencer par « je n’acquis il y a de cela ... en les terres de... » Mais cela ne me dit rien. Je pourrais également les débuter par une phrase impacte qui attiserait l’intérêt du lecteur comme « la morsure du prince de Mortepierres fit que ma vie connu un nouveau tournant : etre séide vampirique changent un peu nos conceptions du monde » ou bien « le combat qui m’opposa aux deux entités du temps n’aurait jamais du se terminer comme cela , selon quelles normes et quels espoirs, un humain, séide vampirique, nécromancien du sixième cercle , chronomancien du quatrième sablier pouvait vaincre Epoque et Immortus ». Quoique dit comme cela ?

Alors je dois me fier à la scrupuleuse honnêteté des lettrés de notre monde.
Je me nomme Luther Borgman et par l’écoute attentive et évolutive de vos conseils je vais vous conter mon histoire...

Libre arbitre où destiné , j’aime à penser qu’ à l’instar des croyants de toutes confessions, il existe des moments où JE suis celui qui décide de mon devenir. Evidemment ça ne prend pas en compte mon orientation professionnelle, puisque apprenti herboriste, je suis au début de notre histoire, et maître herboriste est mon père. J’y ai pris goût au début, passer des heures en forêt avec lui, fureter d’étals en étals entre les commerçants de toutes régions sur le marché de notre capitale Zül afin d’y dénicher la plante, la racine ou la feuille rare que nous cherchions depuis longtemps . Le fait est que l’activité et la réputation de mon père eurent l’avantage de me faire connaître les différentes strates de la population de notre superbe citée, et de m’y faire un « nom », Luther , fils d’Hendrich Borgman, l’herboriste de l’empereur. Ma vie aurait pu sembler écrite si je n’avais pas eu à subir les cauchemars qui habitaient systématiquement mes nuits. Pourquoi ce chevalier armuré d’or et de noir s’invitait dans mes errances nocturnes de quelques natures elles soient : je me promenais, je le croisais, j’étais avec Syanya la jeune fille d’Anadiell le tisserand elfique , il était dans la même pièce que nous, à la fenêtre ou à coté de nous dans notre couche, je me battais dans un combat épique contre des orques sombres et il apparaissait et les abattait avant que je puisse porter le moindre coup. Pas un mots , pas un signe mais toujours là, semblant s’impatienter que je fasse quelquechose de particulier . Enfin ! c’est ce que je pensais à l’époque. A l’age d’avoir les responsabilités d’adulte selon mon père, il me demanda d’accompagné l’un de ces amis commençant vers le sud pour acquérir en son nom, une pousse saine de « Artylym Subitatum » , une plante dont les composants extraits ne résistaient à aucun transport . Il lui fallait en planter un dans l’espoir qu’il résiste aux conditions de notre région et de lui permettre d’accéder à d’autres décoctions rares.
Bien qu’ayant fait de très nombreux lieus autour de Zûl, je ne connaissais en fait rien de plus éloigné qu’un monastère d’ Ayab dont la capitale n’était éloignée que de trois jours de cheval. En bordure d’un marécage, sommes toutes exploité par d’autres pourvoyeurs de composants communs, le monastère par la vertu possible de leurs prière avait l’exclusive production d’une algue unique selon mon père qui était offerte selon l’approbation que les prêtresse faisaient de notre nature. Mon père se vit refuser la plante et même sa fonction auprès de l’empereur n’y fit rien changer. Tournant la tête en passant devant la route que j’avais prise avec mon père pour y aller, je m’ouvrais à l’inconnu avec une faim qui me semble bien puéril avec le recul.

Jovial, plus cinq fois mon age, ne sachant pas résister à une intarissable envie de me raconter des anecdotes de touts types, Odrac était une caricature du commerçant nain à l’accent des tunnels, dont le seul vice était le Lalok noir, une gnole à base de champignons provenant de leurs lus profondes percées, introuvable à la surface. Les deux mois de cheval au rythme de son chariot pour rejoindre Samias, la ville où on devait rencontrer son contact, furent une suite de rencontres, d’auberge et de relais : où qu’il arrivait, une connaissance, un client ou un commanditaire nous hélait pour qu’on s’installe à sa table.

La personne avec laquelle je devais commercer, d’un caractère des plus contestable, voulu, j’aurais pu le prédire, changer les termes établis par mon père quelques mois auparavant. Je ne pu que plier après une âpre discussion dont le nain ne fut que le témoin. Sachant avoir sûrement à le regretter plus tard devant mon père, je me concentrais sur l’espoir de rapporter une des plantes vivantes et exploitables au plus tôt. Le retour, seul, à une allure plus soutenu, fût d’autant moins joviale que mon aspect commun n’avait laissé aucun souvenir même à ceux dont j’avais partagé la tablée. Je n’étais pas encore arrivé à la moitié de mon trajet de retour que dans une auberge j’entendis une conversation qui me poussa dés que je repris la route à accélérer mon allure. Confirmée par certains, étayée par d’autres, de détails en détails j’appris qu’un des soigneurs de l’empereur ainsi que sa famille et non les trois comme affirmé les ragots rencontrés dans les quelques auberges précédentes, avait perdu la vie lors d’un incendie qui avait ravagé sa demeure. Rassuré que le nombre de corps retrouvés dans les cendres ne corresponde pas au total des trois générations qui habitait notre demeure familiale, je réduisis mon rythme pour ne pas risquer les deux dernières pousses encore viables des quatre acquises à l’origine. Une semaine durant des informations me sont parvenues, mais pas un nom avant que cette anecdote ne disparaisse des discussions.


Dernière édition par le Sam 14 Oct à 16:32, édité 2 fois
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Noth Netep
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MessageSujet: suite   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeVen 13 Oct à 0:08

Un matin , après avoir passé la nuit sur ma selle, arrêté devant le portail que j’avais tant de fois escaladé, je me retrouvais devant l’incompréhension d’être orphelin , dénudé de ma famille et considéré comme mort…

Après être resté plus d’une heure sonné devant les ruines de notre maison, j’avais tenté de prendre contact avec ceux qui étaient les plus proches amis de notre famille, mais je restais en arrière, cherchant presque à fuir en voyant leurs regards tout d'abord surpris, très vite inquiets puis effrayés, l’un d’entre eux, tout en hurlant « assassin » essaya de faire venir la garde à grands gestes dans la rue pendant que désemparé, je sautais par-dessus le mur d’enceinte de sa villa. Ne sachant à qui me fier si les amis et collègues de mon père me croyaient ou mort dans l’incendie ou l’auteur de celui-ci, je me cachais pour la nuit dans les combes de la demeure inhabité de nos voisins qui avait eu aussi subit en partie les affres du feu. L’étranger en armure avait choisi cette nuit pour me parler pour la première fois : dans mon cauchemar, je voulu rentrer dans les flammes pour sauver ma famille mais il me
bloque à distance d’un geste de la main.

- « Tu n’as aucune raison de rester maintenant, même si j’ai le Temps devant moi, je me lasse d’attendre que tu te décides de réaliser ce qui dois arriver, nos destins sont parallèles et si besoin j’écrirai ta vie de sorte que tu y sois obligé. Ta famille devait disparaître et nous, toi, suis la vie qui t’a été choisi.»

Ne prenez pas en compte que cela ait eu lieu il y a de très nombreuses années, se sont bien les termes qu’il à employé : comme si l’existence que j’avais vécu jusqu‘à cette journée, et celle qui allait suivre dépendaient de lui, de ses envies, de ses besoins.

Je restais à Zül dans le même quartier les quatre mois qui suivirent, cherchant à obtenir des renseignements de personnes soit complètement désintéressés par mon malheur, soit trop gênés ou anxieux pour évoquer ce qu’ils pouvaient savoir, soit vindicatifs quand ils semblaient me reconnaître. Dépensant la dernière couronne d’argent qu’il me restait de la bourse que mon père m’avait donné pour mon voyage, je compris finalement que je n’y pouvais rien dans l’état actuel des choses, celui, ceux ou l’adversité qui m’avaient mis dans cette situation, possédaient les moyens de faire disparaître un proche de l’empereur sans être inquiété...

Faire de nouveau la route vers le sud, mais dans d’autres conditions, me referma encore plus que les mois passés à Zül. Partis sans en savoir plus, n’ayant que l’espoir que mon compagnon de voyage nain en saurait peu etre plus sur les ennemis que mon père pouvait avoir, s’ils existaient ou si simplement ma famille avait connu la mort dans un banal incendie. Mais sans cesse les mots du chevalier venaient me frapper : Ta famille devait disparaître et nous, toi, suis la vie qui t’a été choisi.» et le sempiternel « pourquoi moi ? » qui apparaissait dans mes pensées au moins vingt fois par jour. J’avais vendu mon cheval pour subsister dans la capitale. Ainsi pour pouvoir partir, j’eus à cambrioler l’ancienne échoppe que le premier apprenti de mon père avait racheté symboliquement au non « existant » dernier héritier. Profitant qu’il avait invité certains de ses amis à fêter son accession à la propriété, je me faufilais dans la cache connu de seul notre famille, dans la réserve de l’échoppe, afin de me faire une réserve de plantes, sérum et préparations qui avaient une bonne, voire, une grande valeur chez les apothicaire de tout type : j’étais à l’abri financièrement si je faisais attention. Préférant une discrétion et un anonymat qui n’étaient peu être pas de mise, je me mêlais à un procession sans cesse grandissante qui, allant vers le sud prier lors d’une cérémonie annuelle du culte de Lakmé, déesse de la compassion. Ce mélange de population me permettait également d’augmenter mes connaissances sur les endroits où aller, ou ne pas allé. Je rencontrais pendant la route un autre nain avec lequel les autres voyageurs refusaient de communiquer. Il se nommait Freutz et oeuvrait pour des collectionneurs afin de leur dénicher des articles très spécifiques. Il avait un talent indéniable pour trouver en tout lieu, à tout moment, l’objet qui pouvait vous manquer et qui par le fait manquait à quelqu’un d’autre presque simultanément. J’eu le bonheur, je m’en suis rendu compte bien plus tard d’avoir l’opportunité de sauver Freutz d’une mort horrible grâce à l’une de mes potion après qu'il ait trébuché visage en avant dans un nid de serpents mortels. Je restais avec lui sur le bord de la route pendant trois jours avant qu’il ne puisse de nouveau faire un pas. A l’origine, semblablement à moi, Freutz avait utilisé la foule de la commémoration pour sortir de la capitale sans encombre. Il était un petit peu recherché, par un petit peu de monde et « La Maître » de la guilde des insoumis l’avait refusé en ses rangs. On ne paye pas le quart quand on s’est fait attraper, on lui demande en premier à faire un coup et on paye le quart juste après. Finalement les remparts de Samias apparurent au détour du chemin. Nous avions mis quatre mois, et sans la bienveillance de paysans qui avaient acceptés de nous prendre dans leurs chariots, nous serions toujours sur la route ... Retrouver l’échoppe du vendeur de plantes ne fut pas très difficile, mais n’ayant pas réussi à avoir des nouvelles d’Odrac dans les relais que nous avions croisées, j’espérais qu’il soit encore dans cette ville à commercer, lors de mon départ il m’avait dis vouloir y monter relais commercial. Il s’était exclamé le soir précédant mon départ, réalisant que de très nombreux produits ne supportaient pas le transport et que certaine ville comme Samias étaient un point de jonction de plusieurs d’entre elles. Dans l’heure qui suivit notre entrée en ville je me retrouvais accompagné de Freutz de nouveau devant Odrac qui après quelques minutes de recueillement décida que ma famille méritait une fête des plus abrutissante chez un de ses cousins à l’auberge « du troll couineur »

La cérémonie d'Odrac fut plus enjoué que funèbre. L'alcool aidant, ce fut la première soirée ou la peine se fit un peu moins lourde. Odrac chantait et dansait sur la table pendant qu'un menestrel de passage jouait des airs à sa demande. Je parvins même à rire et à prendre un peu de bon temps auprès d'une jeune fille pas vraiment recommendable... Nous sortimes de l'auberge quelques heures avant l'aube, ivres et fatigués. Le froid me permis de reprendre quelque peu mes esprits et au troisième croisement, je compris que quelquechose clochait. Peut-être le silence trop pesant, ou la lumière du jour naissante à travers la brume du matin. Une sensation étrange. Quelqu'un m'observait, quelquepart. Odrac se retourna, me demandant avec un air agard la raison de mon arret subit. Alors que je lui fit signe de se taire, un homme bondit d'un coin d'ombre, un long poignard à la main et se jeta brutalement sur moi...
En deux pas l'homme fut sur moi. Paralysé par la frayeur, je vis la fine lame, vive comme l'éclair, plonger vers ma gorge. Mes jambes se dérobèrent et mes yeux se voilèrent... le noir, l'oubli, le froid... puis une faible lueur et la grosse voix chaleureuse d'Odrac : « Ben mon garçon, si tu as sans aucun doute de puissants ennemis, quelqu'un désire également te maintenir en vie, regarde... ». L'homme vêtu de sombre gisait maintenant à terre dans une étrange posture. Du carreau d'arbalète dépassant de l'arrière de son crâne coulait lentement un sang épais aussitôt avalé par le caniveau. Odrac m’aida à me relever, je m’approchais de celui qui avait tenté de me tuer quand j’entendis un raclement de gorge derrière nous. Freutz s’approcha de nous, rangeant sans discrétion son arbalète de poing « Désolé, Luther, je n’arrivais pas à savoir qui de ceux avec qui nous voyagions, en voulait à ta vie. J’ai déjà détecté deux fois du poison dans nos aliments durant le trajet, mais il était vraiment bon et je ne savais pas lequel d’entre nous étais la cible. Celui-ci est mort mais je suppose qu’il y en aura d’autre vu le prix qui a été mit sur la table pour ta tête. » Tout en expliquant qu’il avait décidé de me suivre depuis mon arrivée dans la ville afin de le débusquer, il fouilla le corps et le délesta de ses diverses richesses. Il me tendit deux dagues courbes qui selon lui étaient magiques et un avis de chasse dont j’étais le sujet. Ma mort valait 450 couronnes d’or et l’encaissement pouvait se faire auprès de la « Guilde des six ». Freutz, tout en s’installant devant le feu qui crépitait dans le salon d’Odrac, m’expliqua que les « six » était la guilde qui, sous la coupe d’un seul maître, chapotait tout les trafics des six villes hors capitales raciales les plus importantes de l’empire. Ce qui l’étonnait le plus dans cette histoire était que l’assassin ait gardé un tel document sur lui : ça ne se faisait jamais et ce tueur ne semblait pas en être à son premier contrat.[Quelqu’un voulait ma mort et il était prés à débourser une somme conséquente pour arriver à ses fin. Je passais les trois jours qui suivirent chez mon très hospitalier hôte cherchant à énumérer ceux que j’avais pour ma part offusquer, laissant la liste familiale à Odrac qui semblait avoir eu des liens plus que commerciales avec mon père. Je lui avais été présenté lors d’un repas quelques années auparavant mais après cela je ne l’avais croisé que deux ou trois fois. Qualifié d’ami, il avait évoqué mon père que rarement lors de notre voyage et ne s’étais attardé que sur les « ennemi » potentiel de ma famille sans me donner un nom en particulier. Freutz utilisa les services des choucards de la guilde locale voulant acheter des quelques amis qu’il lui restait à Zül les informations qu’ils pouvaient le plus discrètement obtenir.


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Noth Netep
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MessageSujet: petite promenade buccolique   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeVen 13 Oct à 11:35

Promenons nous dans les foies

La première impression comme je m’en été rendu compte dans de nombreuses occasions est souvent celle qui prime … Pas de ce côté du portail ! Je n’avais jamais eu tendance à me laisser envahir par la peur ; tout ce que je voyais, que je sentais, que j’évaluais, que tentais de comprendre ne faisait qu’augmenter cette sensation, cette oppression. Zagnafein m’a très vite expliqué qu’une des particularités du chaos était de changer aussi bien visuellement, sensitivement et en dangerosité. Là où quelques minutes auparavant tout était calme, la minute suivante le danger pouvait nous frapper et il ne s’en priva pas…

Je commençais à m’habituer à l’impression malsaine provenant du petit monde féerique dans lequel nous étions apparus que celui-ci changea du tout au tout en l’espace d’un quart d’heure. Cette nouvelle vision était nettement plus en corrélation avec l’image que je m’étais fait d’un possible plan chaotique. Le sol devint spongieux, puis vint l’odeur, d’abord désagréable puis rapidement écœurante, nos pieds s’enfonçaient et à chaque pas, une sorte de mêlasse fit que nous fûmes ralenti progressivement. L’herbe disparut peu à peu pour laisser place à une sorte de vase, mais l’odeur n'était pas celle de la vase. Les hauts-le cœur apparurent assez rapidement, je fus le premier à vomir, Zagnafein résista encore une bonne heure. Des bosses apparurent spontanément autour de nous à perte de vue : de toutes tailles, couleurs, certaines immobiles mais les plus grosses, d'un diamètre de plus de deux mètres, commencèrent à trembler et à grincer où plutôt gémir !! Et les explosions commencèrent : une sorte de geyser de mêlasse purulente à l’odeur insoutenable pouvant s’élever à plus de huit mètres retombant en une pluie contagieuse qui au contact de notre peau faisait apparaître pustules, bubons, plaies infectées et furoncles : il pleuvait de l’infection, il pleuvait de la pestilence, il pleuvait nurgle. Zagnafein utilisa l’un de ces parchemins et créa un dôme de protection de deux mètres de diamètre où nous restâmes plus ou moins dix heures. J’eu la pensée en espérant que cela s’arrête que jamais je n’aurais de situation pire à traverser. Mais ce n’était que le début de notre périple chaotique …

Les monticules disparurent aussi rapidement qu’ils étaient apparus pour laisser place à un paysage de terres arides, désolées, rouges et venteuses sur lesquelles des petits tourbillons d’une vingtaine de mètres s’élevaient durant quelques secondes, retombaient, continuellement remplacés par d’autres. Des squelettes éparses, des vestiges de combats, des armes difformes, étranges, des cuirasses, armures aux formes, tailles et aspects aussi inconnus que nombreux se mélangeaient, s’entrechoquaient à quelques dizaines de mètres avant de retomber attendant le prochain tourbillon qui les entraînerait de nouveau dans une danse agressive et mortelle de projectiles. Je ne dus de nouveau ma survie qu’aux talents de zagnafein : il entama une danse des lames autour de moi qu’il tint durant plusieurs heures jusqu'à l’épuisement, contrant, parant, rejetant tout ce qui par le flux et le reflux des tourbillons risquait de nous atteindre . Il finit par s’effondrer inconscient lardé de plaies sanguinolentes aux aspects tantôts putrides, tantôt infectés. Je passais les trois heures qui suivirent nous approchant de la nuit à tenter d’enrayer les infections, devant creuser par endroit jusqu’à l’os espérant enrayer l’évolution de la putréfaction. S’il n’avait pas appartenu à la race des draw je ne pense par qu’il aurait survécu , résistant de par sa nature, ainsi que les elfes, aux maladies et infections , je fus tout de même surpris de la puissance des corruptions qu’il avait subi , il m’expliqua bien plus tard que cela venait du lieu où nous étions renforçant le sentiment de respect qui naissait en moi : il avait déjà combattu de ce côté des portails et il s’y était de nouveau engagé sans raison et sans intérêt dans le but de me sauver…

Que dire de la noirceur de la nuit si ce n’est qu’elle était palpable, réellement palpable , me freinant dans mes mouvements autant que dans mes pensées : nous étions dans une sorte de coton, un coton transpirant le mal, la haine et attisant les sentiments de rancoeurs et de violence. Zagnafein deux heures après la tombée la nuit se réveilla et concentra notre attention en chantant un chant de guerre elfe noir de sorte que nous évitions de penser et de par l’influence de cette noirceur de nous entretuer. Le matin nous trouva extenués, sur la défensive, espérant quelques heures de tranquillité mais la nature en décida autrement. Dans les deux heures qui suivirent l’apparition du soleil, un second puis un troisième astre se levèrent, augmentant presque instantanément la température ambiante à un seuil pratiquement insupportable pour notre nature : sous moins de deux ou trois heures nous allions être consumés sur place. Chaque cycle chaotique étant d’inégale durée, ne sachant combien de temps nous allions avoir à subir cette température croissante, on prit la décision de tenter le tout pour le tout en nous élançant dans une course forcée à la recherche d’un abri dans cette zone plane, sans la moindre ombre. L’air était brûlant, la poussière ocre nous obstruait les poumons, la mort courrait prés de nous se fortifiant à chaque pas, à chaque respiration. Les cloques, œdèmes, déjà nombreux sur notre peau apparurent sur nos langues, nos poumons s’asséchaient, la salive fut remplacée par une mélasse sanguine, nos cheveux craquaient, je dus éteindre deux fois des mèches crépitantes sur le crâne de Zagnafein, puis vint le salut sous la forme d’une sorte de vasière de trente mètres de diamètre isolée, incongrue au milieu de ce désert consumant mais… nous n’étions pas seul…


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MessageSujet: suite   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeVen 13 Oct à 11:36

Si ce n’avait pas été une question de survie, je ne me serais pas approché de cette fange gluante, mouvante de bras tentaculaires, verdâtres, répugnants d’où émergeaient de temps à autres des yeux globuleux de la taille d’une tête de boeuf aux couleurs changeants. Je ne pourrais dire s’ils étaient un ou plusieurs s’ils étaient agressifs où non mais quand les cheveux de Zagnafein s’enflammèrent spontanément, je plongeais à sa suite dans la boue. Nous restâmes en ce lieu plusieurs heures, nous recouvrant sans cesse de cette glue ignoble à plus de soixante degrés, nous faufilant, rampant entre les méandres noueux des tentacules, tachant de ne pas nous retrouver broyés, étranglés, où plaqués au fond de la mare loin de l’air «salvateur». Puis, sans rien ne l’annonçant, les créatures quittèrent la vasière sans avoir eu l’air à aucun moment de se rendre compte que nous leur avions tenu compagnie, ils étaient onze de tailles différentes et une fois qu’ils furent éloignés d’une cinquantaine de mètres, ils se desséchèrent en quelques minutes pour ne laisser d’eux qu’une sorte d’œuf d’un mètre de haut grossissant à la lente disparition des deux premiers soleils. Entourant ce qui de plus en plus ressemblait à une sorte de couveuse, onze œufs de plus de trois mètres commencèrent à émettre une vibration stridente nous annonçant notre prochain problème. Les créatures qui en émergèrent étaient indéniablement faites pour le combat : couvertes de crochets et de pointes de chitine, armées de pics, pinces, d’ergots d’où suintait un liquide qui vitrifiait le sable sur lequel il tombait. Zagnafien n’attendit pas la fin de leur mutation pour se ruer au combat, je mis quelques secondes à réagir mais surtout beaucoup plus de temps que lui à m’extraire de la tourbière : je sautais sur mon premier adversaire que déjà cinq d’entre eux avaient la tête tranchée. Aillant vu que les deux premières frappes du draw au torse d’une des créatures ne l’avaient pas atteint, je ne pris comme cible que le cou puis après deux échecs qu’une ligne discrète un peu plus pâle qui entourait le cou des mutants. Je réussis enfin à égorger le premier d’entre eux que Zagnafein hurlant me fit me retourner, me laissant tétanisé devant une colonne verdâtre de trente mètres de diamètre et de plus de quatre vingt de haut surmontée d’un œil titanesque cerclées d’une multitudes de mâchoires acérées me plongeant dessus. Zagnafein me crut mort sur le coup : moi aussi !!!

Gobé tel un raisin, je me retrouvais, je ne sais toujours pas comment, derrière les six ou sept rangées de dents de la mâchoire qui m’était tombée dessus sans la moindre blessure. Très vite avalé, je ne dus ma survie qu’au fait d’avoir écarté les bras dans ma chute oesophagienne, je remercie la tant renommée manufacture nanique : ma main se figea dans un énorme furoncle m’arrêtant avant un bain gastrique que j’entendais crépiter à quelques mètres plus bas. Ne pouvant rien faire d’autre qu’attendre qu’il se redresse de nouveau pour dominer Zagnafein, je me mis à espérer que mon compagnon tenterait de tuer la chose et de retrouver mon corps. Ce que je ne savais pas c’est que de son coté le danger avait de nouveau subitement augmenté mais cela est un autre problème. Subissant les ondulations de la bête et dans une obscurité totale, je mis quelques minutes à me calmer et reprendre mes esprits, je ne voulais pas finir en soupe alimentaire pour un vers chaotique géant mais la situation tentait à prouver que cela allait tout de même m’arriver. Puis une lumière éblouissante jaillit de mon autre main, glaçant l’air moite qui m’entourait, gelant les gouttelettes de bile, salive qui suintaient sur la paroi de l’œsophage. Je plaquais ma main au raz du furoncle et vit le gel solidifier la muqueuse et très vite la chair que je touchais, la bête tenta bien de réagir mais encré comme je l’étais elle ne pu que se débattre et, une fois que le gel eu atteint la masse extérieure de sa chair, se briser net avant de s’effondrer de tout son long tel un arbre abattu. J’eu de nouveau une chance incroyable, accroché à mon furoncle sur la paroi supérieure du corps de la bête, je ne fus pas atteint par le flot gastrique qui se déversa hors du corps sans vie.

Me balançant afin de grimper sur la bête, je compris tout de suite que la situation de Zagnafein avait empiré pendant ma promenade alimentaire : un genou à terre, la tête baissée, les sabres, bras tendus en arrière, il faisait face à une troupe d’une vingtaine de maraudeurs qui semblaient étonnés de ce qu’ils venaient de découvrir dans le désert. Surpris qu’ils n’aient pas eu de réaction à la mort visuelle et sonore de la bête, observant l’être qui, immobile, n’avait pas l’air de vouloir fuir, ils ne me virent pas me faufiler et me plaquer sur le vers. Ils ne cherchèrent pas à l’attaquer et restèrent un long moment à l’observer puis l’un d’entre eux fini par se détacher de leur troupe. Il s’approcha de quelques mètres avant de disparaître dans un petit nuage noir très compact et d’être éparpillé aux vents en six morceaux dans des gerbes de sang aux courbes parfaites : le nuage se dissipant tous virent que l’étranger n’était plus là … Je ne pourrais décrire ce qui se passa ensuite devant moi, le fait est que des bras, des têtes, des jambes furent propulsés dans les air alors qu’une brume noire se faufilait entre les maraudeurs. Certains tentèrent bien de frapper la volute quand elle s’approchait d’eux mais aucun coup ne semblait porter et leurs membres rejoignirent ceux encore en l’air. Ils étaient une vingtaine, ils ne furent plus qu’un, moins d’une minute plus tard, désarmé, les pieds et les mains tranchées… Je venais de voir la scène de combat la plus hallucinante de ma vie et je n’ y avais rien compris. Il semble que l’utilisation de certains de ses sorts épuisait complètement zagnafein, il était de nouveau genou à terre mais cette fois pas dans une posture de combat. Je lui prodiguais de nouveau des soins, l’un des enfants de mon vers l’avait éclaboussé en périssant et les brûlures qu’il avait subit au bas du dos avaient également cautériser ses vêtements à sa plaie...

Une fois soigné, il se dirigea vers celui qu’il avait épargné, je pus constater qu’il avait utilisé le sang des créatures pour cautériser les membres sectionnés de son prisonnier. Commença alors un dialogue en langue noire dont je fus exclu par la force des choses, tout en espérant détecter quelque chose dans l’attitude des deux protagonistes : sur le visage d’un elfe noir et celui d’un maraudeur !!! Je mis donc à profit ce moment pour collecter des échantillons sur mon vers : salive, acide sanguin, le suc gastrique pour lequel je dus changer trois fois de récipient, la glaise qui nous avait servi à nous protéger des soleils et qui avait soigné nos plus anciennes blessures, ce vers était une vraie réserve de composant. Je découpais également d’une grande surface de peau que je rangeais dans mon sac sans fond et d’une autre pour nous confectionner des vêtements de rechange, ceux que nous avions encore en réserve, nous seraient utiles en rentrant dans notre monde si nous y parvenions !

Concentré sur ma confection, je n’entendis pas Zagnafein s’asseoir prés de moi, il me répéta ce qu’il avait obtenu du maraudeur avant de l’exécuter. Force était de reconnaître que notre monde ne connaissait que peu de chose sur celui chaotique, alors que nous le croyons voué à une éternelle anarchie, le maraudeur lui expliqua qu’au contraire une hiérarchie existait de part la race, la nature et l’essence que détenais chaque être sur ce plan. Très « religieux » le chaos était voué à quatre dieux majeurs qui défendaient chacun un point de vu spécifique de la destruction. Ces dieux nommés différemment sur la plupart des plans sur lesquels ils interagissaient étaient reconnu sur le plus grand nombre de monde comme Khorne « dieu sanglant de la guerre » Nurgle « seigneur de la pestilence », Slaneesh « seigneur des plaisirs et de la corruption », et Tzeentch, celui duquel nous avions eu le plus à subir l’influence, « maître du changement de la conspiration ». Des guerres ethniques, de pouvoir, de croyances les opposaient mais à notre grand malheur, il existait un seul point sur lequel les quatre étaient d’accord : ils menaient une croisade sur les autres plans pour étendre le chaos et pour cela ils n’avaient aucune difficulté à faire fis de leurs différences pour s’unir contre leurs ennemis. Et, contrairement à notre monde ou les dieux vivaient un sur un plan lié mais différent, leurs dieux étaient directement actifs et vivaient sur leur plan : le dernier des maraudeur avait déjà eu l’occasion de voir Khorne qu’il priait.

Le reste de la journée se passa sans problème, Zagnafein avait également obtenu la saccade temporelle et la direction du portail le plus proche qui selon le maraudeur correspondrait à notre monde, j’eu tout de suite une confiance très relative en ces informations mais, comme me le précisa le draw, il avait des méthodes particulièrement efficaces pour rendre les plus récalcitrants des plus lyriques. Nous avions de la route pour l’atteindre mais surtout trois autres saccades à subir avant la bonne et l’une d’entre elle était un autre temps de nurgle tel ou pire que les geysers purulents... La seconde nuit fut semblable à la première mais je pris cette fois mon quart vocal pour laisser plus de temps à Zagnafein, il était dans un état « pire« que le mien. Au matin du troisième jour on vit à l’horizon arrivé une énorme tempête tonnant et rugissant déjà à plusieurs heures de distance. On eu beau chercher un abris on était resté dans le même environnement que lors « des trois soleils » mais sans la chaleur accablante. Tel un mur mobile avançant vers nous plus vite qu’un cheval, on vit s’approcher une falaise de pluie rouge sans cesse zébré d’éclairs frappants avec une latence surnaturelle. Il venait bien évidement dans le sens contraire à celui que nous avait donné le maraudeur. Les éclairs étaient tellement lents qu’il nous était possible de les éviter, mais la pluie nous atteint de plein fouet, tel un fouet. Les brûlures apparurent au bout de quinze secondes, les cloques au bout de trente, nous étions de nouveau face à une mort horrible contre laquelle nous ne pouvions rien faire, une fois de plus la chance fut de notre coté, je remarquais très vite que nos nouveaux vêtement nous protégeaient non seulement de l’humidité mais également de l’action corrosive de cette pluie acide. Sortant la pièce de peau que j’avais collecté, je nous confectionnais une sorte de tente pendant que Zagnafein creusait à l’aide de ses lames une tranchée nous protégeant des écoulements. Une fois de plus nous dûmes attendre de nombreuses heures espérant que la foudre ne nous atteigne pas, l’orage dura et nous quitta seulement à l’arrivée de la nuit suivante.


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Noth Netep
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MessageSujet: suite2   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeVen 13 Oct à 11:37

Priant de ne connaître qu’un seul soleil, le matin nous trouva de nouveau exténués d’une nuit de chants, nos réserves diminuant du fait du pourrissement accéléré en ce lieu , il fut primordial de les renouveler au plus vite. Nous découvrant de notre tente, nous fûmes assailli par une luxuriante végétation, mélange incongru de plantes d’origines multiples et inconnues toute plus grandes les unes que les autres. Nous étions à plus de dix mètres des premières branches des plus petits arbres qui nous dominaient et à plus de cents de la cime des plus hauts, tels des souriceaux face à des géants. La flore nous écrasait, la faune nous fit comprendre dés les premiers temps hors de notre cachette que nous étions loin d’être en haut de la chaîne alimentaire locale. On a pu très vite renouveler notre nourriture sans savoir si ce que nous conditionnions était consommable. « Le sang attire le sang « comme le dit le vieil adage, en l’occurrence, les dépouilles des animaux chassés firent de nous des proies. Tachant de garder notre cap dans la bonne direction, nous dûmes combattre nombre de mutants bêtes où bêtes mutantes. Certaines griffant, certaines mordant, d’autre désirant seulement nous enlever, toutes tentant de savoir si ces «nouveautés» avaient bon goût. Malgré les combats qui perdurèrent une grande partie de la journée, celle-ci fut des plus relaxante en comparaison de celles qui l’avaient précédées. Connaissant l’importance que pouvait avoir un composant inconnu pour tout lettré qui avait la passion de l’étude et de la découverte, je fis tout au long de cette saccade de nombreux prélèvement tant en os, fluides, parties organiques usuellement employés par les magicans, alchimiste, sorciers et bien évidement herboristes . Cela me permis de me procurer en les arrêtes dorsales d’un apparenté sanglier, trois stylets effilés plus résistants que l’acier et une sarbacane que je mis trois heures à évider en son cubitus. Je pus multiplier ma réserve de plante par cinq en quelques heures sans avoir la moindre idée de leurs capacités possible sauf une. Je fus surprit qu’à de nombreuses occasions les animaux qui nous attaquaient en meute et qui s’échappaient se dirigeaient vers une plante aux minuscules feuilles violacées et les dévoraient se régénérant prestement avant de fuir. La nuit vint et nous étions encore vivant...

Contrairement aux précédentes, nous n’eurent pas à chanter cette fois ci, les bruits de la nature et de la faune qui nous entouraient, attisèrent notre attention. Quelques heures avant le retour de la lumière, un bruit aussi effrayant que soudain nous fit sursauter, puis plus de cris, plus de bruissements de flore, le silence nous faisant bondir du bruit du raclement de mon pied sur le sol de nouveau sec et poussiéreux. D’autres bruits apparurent peu de temps après, Zagnafein perçut très rapidement des silhouettes s’approchant de nous, prenant position en encerclant puis s’arrêtant à quelques cinquante pas de nous. Je ne sais qui de l’attente, l’inconnu de la saccade dans laquelle nous étions tombé ou nos «compagnons» firent que je passais les deux heures qui suivirent dans un état proche de la panique. Et la lumière n’arrangea pas les choses : des quelques déchets plus gros que les autres qui dépassaient, le sol qui nous entourait était surmonté d’une couche de plus de trente centimètres de poussière d’os. Nos « compagnons», que je pus, dés que je les vis, appeler belligérants, étaient plus d’une centaine, plus de deux mètres de haut en moyenne, protégés d’une plate gothique chaotique et armés plus que de raison : nous étions une fois de plus complètement fait !

L’encerclement passa de cinquante pas à trente puis de dix à cinq, sur les recommandations de Zagnafein, on ne manifesta aucune agressivité, laissant nos armes au fourreau : ils auraient voulu nous tuer qu’on le serait déjà. Sans nous délester de nos affaires, ils nous menèrent durant trois heures vers le haut d’une sorte de colline de plus en plus incliné pour atteindre enfin une sorte de crête au sol sans poussière dominant le plus gigantesque cratère qu’il était possible de percevoir à la vue humaine. De plus de trente kilomètres de rayon et de plus de vingt de profondeur, dominait en son centre, la plus titanesque forteresse qu’il m’avait été donné de voir, faisant passer notre capitale de Zül pour une motte féodale des temps primaux. Un des maraudeurs cria d’une voie profonde deux mots repris à l’unisson par la troupe, mots que zagnafein me traduisit comme « terre bénie de la présence de Khorne » : nous étions face au palais d’un des dieux chaotique, en terre chaotique escortés par une troupe qui finalement devait être des templiers du dieu de la guerre sanglante : tout s’arrangeait !!!

Je ne peux consciemment donner les dimensions de ce temple tant elles était inhumaines mais je peux sans exagérations déterminer que la tour de Quenys, le plus haut monument de notre monde, pouvait passer sous l’arche de la porte d’entrée de la forteresse sans en toucher la clef de voûte. Je ne rentrerais pas dans une description de ce que nos yeux virent dans ce monument, tout y était trop grand, trop agressif, trop peuplé et surtout trop mortel. Il nous fallut quatre heures pour atteindre le donjon situé en son centre, quatre heures observés par des milliers d’yeux, pas souvent par paires, des milliers de combattants attentifs à notre passage alors que nous n’avions pas foulés un millièmes des ruelles de ce gigantesque labyrinthe. La tour à elle seule avait les fondations de Zül, un rectangle d’obsidienne, soutenu d’arcs boutant de la taille pour certains de la tour de Quenys, n’ayant qu’une seule porte et aucune fenêtre mais le plus effrayant dans ce cauchemar était le flots continuelle de sang coulant, intarissable, le long de les parois lui donnant l’aspect d’un coup titanesque qu’on venait d’égorger.

Voir un dieu, quand bien même du chaos, me grisait quelque peu, la situation est le lieu devait y être aussi pour quelque chose, le fait est que lorsqu’ils nous dirigèrent vers le centre de la tour j’étais plus emprunt d’impatience que de peur. Nous avons traversés le donjon dans une sorte de pataugeoire sanguinolente, les murs suintait, les plafonds goûtaient, colorés du sang rouge noir qui vieillissant ne s’asséchait jamais. L’odeur acre, ancrée dans l’ambiance des couloirs et des immenses pièces que nous eûmes à traverser pour arriver, après encore une bonne heure de route au temple du dieu si bien nommé, me saoulait plus que m’écœurait. Plus de cent mètres de haut, au mois quatre cent de large, et plus de six de long, le hall avait la démesure lié aux nombres de templiers qui attendaient, dans un ordre parfait le long d’une allée centrale de moins de quinze mètres de large . La cathédrale était pleine, silencieuse si ce n’est le cliquetis des goûtes tombant du plafond dont s’abreuveraient les milliers armures et les armes qui étaient toutes au contact du sol : un sol sec. Pas un souffle, pas un mouvement, pas un grincement d’acier, les templiers statuaires ne réagirent pas à notre passage. Puis sans que rien ne l’incite, une génuflexion commune nous fit sursauter, un chant, une prière s’éleva lentement, de plus en plus forte, de plus en plus lancinante, envoûtante, sans en connaître ni la langue ni le sens, je fus surpris de m’entendre la chanter mentalement sans m’en rendre compte au bout de quelques minutes, un regard de Zagnafein me fit comprendre qu’il avait connu la même réaction. La suite ne m’apparaît que dans un brouillard et après m’être concerté avec mon compagnon voila ce qui en ressorti : il faisait plus de cinq mètres de haut et son armure était faite de sang qui sans cesse renouvelé, se consolidait et tombait en poussières autour de lui. Son arme, posée à coté de lui, de taille invraisemblable changeait continuellement de forme, tantôt hache, tantôt épée, tantôt hachoir : le seul vrai souvenir que je garde d’elle c’est qu’elle était totalement recouverte de gravures, runes et glyphes . Je ne vis pas son visage, à tenter qu’il en ait vraiment un, mais il dégageait de lui une impression de force brute, de violence primale, épidémique. Une fois présentés à son regard, on nous dirigea dans un dédale avant de fermer derrière nous une porte nous isolant dans une sorte d’appartement. Nous ne fûmes pas nourri et eurent non plus de visite durant ce qu’il nous sembla, sans pouvoir le certifier, deux ou trois jours. Une seule question nous taraudait : Pourquoi nous laisser là sans prendre de décision nous concernant ? Khorne n’étant pas lié à la putréfaction comme Nurgle, Zagnafein employa la dernière pomme et un morceau de pain pas trop rassit qui nous subsistaient des réserves de notre monde comme référence temporelle : sans toujours aucune assurance, nous étions dans ce lieu depuis au moins deux semaines quand la porte s’ouvrit de nouveau.

En langue noire, le templier nous ordonna de le suivre jusqu’aux appartement de sa »lumière », me perdant dans des réflexion brumeuses quant à la façon de se présenter à un dieu chaotique, je ne me rendis pas compte que nous étions arrivé en un appartement où nous attendaient deux personnes.
-« genoux bas, tête au sol devant nous, mortels « déclara l’un d’entre eux en langage commun, « je suis Tzeentch et mon frère Khorne voudrait savoir ce que vous faites en sa saccade ! ».

Ils avaient eu la «gentillesse» de se paraître de l’apparence qui nous gênerai le moins : tel deux humains d’aspect des plus banal l’un blond, l’autre roux. Je pense que le corrupteur fit en sorte que le reste de la conversation soit des plus nébuleux mais nous parlâmes de notre monde et de sa population sans n’y pouvoir opposé résistance, détaillant races et peuples et selon le souvenir plus concret de Zagnafein, beaucoup de «Cité la noire». Après ce qui me sembla quelques minutes, mais à la complainte de nos estomacs, sûrement plus de cinq ou six heures, on se retrouva prit de vertiges sur les créneaux du donjon dominant la citadelle, accompagné des deux dieux, observant l’armée tentaculaire, cloaquesque, et visqueuse de Nurgle qui prenait position dans l’enceinte du volcan. Tzeentch nous expliqua que le dieu de la pestilence était dans son Cycle de «contestation» et qu’il venait revendiquer les terres de Khorne pour les mille ans de son «temps». On ne nous permis pas de voir le combat qui suivit et sans ne rien n’y comprendre, on se retrouva dans une plaine d’herbe rase à quelques kilomètres d’un portail dont on discernait la lueur «salvatrice». Trois heures de marche plus tard sans la moindre rencontre, n’y danger, nous nous retrouvâmes devant un disque antique, décoré de têtes de démons, que nous n’avions pas eu le «plaisir« de rencontrer, miroitant du même noir poisseux que celui que nous avions traversé pour venir en ce plan. Je pris Zagnafein dans une étreinte qui encore maintenant me surprend dans touts les cas, l’autre coté ne pouvait etre que mieux... Je passais le premier et me retrouvé dans une rotonde de plus de cent mètres de rayon, peuplé de plusieurs dizaines de statues, cerclées d’au moins soixante autres portails. Je comptais passer au plus vite le seul d’entre eux qui était ouvert à part le nôtre quand une lumière attira mon regard de l’autre coté de la salle. M’en approchant , je distinguais au sol une fiole minuscule à l’intérieur de laquelle pulsait une lueur grandissant à mon approche , j’allais tendre la main pour la saisir quand j’entendis mon compagnon tomber à genou puis sur le flanc, le souffle court. Dans une plainte, il me dit de la placer dans mon sac sans fond sans qu’il y soit exposé pour le donner à Shaladan qui saurait quoi en faire. Il mit une demi heure à s’en remettre, temps que je mis à profit, pour passer entre les différentes statues qui je le compris très vite étaient des personnes statufiées. De toutes races et d’autres non connues aux apparences des fois déconcertantes, je me retournais frappant de ma dague en revers quand une main se posa sur mon épaule. Mon coup ne lui fit rien seul son bras droit et sa tête n’était pas figés. Il se nommait Gartus «force guerrière» haut templier de Grimnir, un dieu nain de la vaillance et du courage dans la bataille vénéré sur un autre plan. Il m’ordonna, après avoir appris de ma bouche que les nains et apparentés existaient dans mon monde, de rapporter en mains naines l’arme tombée à coté de lui, il avait attendu des siècles de pouvoir la reprendre en main avant de pouvoir mourir la conscience libre et le cœur léger. Je lui promettais de suivre son dernier désir après qu’il ait gardé en mains son bec de corbin une dernière fois, les yeux exaltés de reconnaissance et de larmes, avant de l’accompagner d’un sourire lors de son dernier souffle. Enfin remis, Zagnafein m’appela de l’autre coté de la salle, s’habillant de sa tenue de rechange puis remettant son anneau sigillaire d’illusionnisme, il alla observer le portail qui devait nous ramener chez nous. Je fus le premier à le passer, puis ne sachant si nous étions au bon endroit, j’attendis l’arrivée de mon compagnon pour utiliser plein d’espoir mon glyphe de téléportation pour Zül ...


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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeVen 13 Oct à 11:39

vous avez le droit de critiquer, et j'espere que vous le ferez...

vous avez aussi le droit de dire que ça vous a plu
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeVen 13 Oct à 13:29

et tu as le droit de faire que un sujet pour tes histoire non? pourquoi faire 2 sujet quand on peut mettre tout dans le meme? je fusionne tes deux sujets rabbit sinon bien tes histoires
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Noth Netep
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MessageSujet: DE MORTALYS INFICTUS   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeSam 14 Oct à 17:31

Craignant une nouvelle tentative de la guilde, je quittais discrètement la ville le soir même accompagné de freutz pour une bergerie qu’Odrac savait inutilisée et isolée à deux lieus à la ronde et à plus de trois d’une route. Restant à son commerce, il se chargerais de nous faire parvenir vivres et messages en attendant que les requêtes de Freutz aboutissent. Cet ermitage me fit le plus grand bien, mais mon moral tomba de nouveau au plus bas quand au bout de deux semaines Odrac nous fit parvenir le premier des messages du Zül qui lui était parvenu. En fait, on découvrit à sa lecture qu’il serait le seul : des quatre personnes qui avaient été contactées trois étaient mortes et la quatrième, dont on lisait le message,leur assassin, laissait à Freutz et au « petit » le temps d ‘avance qu’allait nous donné le corbeau avant de nous lancer la chasse
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeSam 14 Oct à 18:22

juste une chose a quoi serve tes histoires?
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeSam 14 Oct à 18:36

personnellement me faire plaisir,quant aux autres les faire participer à l'ecriture. il se peut que personne n'intervienne alors j'arretrai
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeSam 14 Oct à 19:49

ok Wink
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeSam 14 Oct à 21:23

salut noth netep

Heu j'avoue que je n'ai aucune envie une histoire aussi longue Shit trop de ligne, j'en ai mal aux yeux Shocked

je ne sais pas se qu'en pense les autres, personnellement, je crois que tu devrais venir rejoindre une quête de ton choix Wink , avec un tel personnage, tu dois pouvoir t'éclater cheers et les autres acteurs aussi! Smile

enfin ...si je peux de donner mon avis... Mr. Green Mr.Red
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Noth Netep
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MessageSujet: DE MORTALYS INFICTUS   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeDim 15 Oct à 8:24

je me fis à votre avis (pour l'instant), a bientot, au plus tot dans une de vos quete .
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeDim 15 Oct à 10:58

super Cool dans la nôtre peut-être Mr.Red
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeDim 15 Oct à 18:32

je vais vous rejoindre


Dernière édition par le Lun 16 Oct à 12:58, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeLun 16 Oct à 12:21

hum, nous sommes déja des héros Mr.Red
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeLun 16 Oct à 13:00

je viens d'aller voir ou vous en etes: je fuis les terres draw, je vais devoir attendre que vous avanciez dans votre quete
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeLun 16 Oct à 15:01

Super cheers
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitimeMar 17 Oct à 17:15

ok Very Happy
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MessageSujet: Re: Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage   Proposition d'une petite histoire interractive avec sondage Icon_minitime

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